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A l’avis, à la mort

17 février 2010

Tu me demandes si j’ai bien compris, ce que je ferais à ta place. Cette bonne blague, je ne suis pas toi ! Je ne sais pas. Tu t’adresses peut-être à la mauvaise personne, à une sorte d’handicapé pour tout ce qui concerne les choses humaines : très mauvais en conseils, autant qu’incapable de jugement moral. Je ne puis te dire que ceci : la nécessité seule guide mes actes. La nécessité de l’évidence. Et il n’est d’autre évidence pour moi, que celle de la beauté. La beauté naît du sens, le sens entendu non comme direction, mais comme effet de la cohérence. La cohérence commence par un seul regard, si simple, vers l’intérieur, vers ce que l’on n’a pas envie de voir.

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